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NICE PAR LES MONNAIES
LES SEIGNEURS DU COMTE DE NICE
du Xe siècle à 1860





La galerie numismatique

ou un aperçu de l'histoire du Pays de Nice par les monnaies

par Yves BRUGIERE


A l'origine comptoir grec fondé il y a plus de deux mille ans et dont le nom originel serait  Nikaïa (la Victoire), l'agglomération niçoise devint une importante circonscription administrative sous l'empire romain. C'est non loin de Nice que l'empereur Auguste éleva le monument de la Turbie pour célébrer ses victoires sur les populations alpines. Sur le passage de la via Domitia, les romains bâtirent sur le site de l'oppidum de Cimiez une ville avec thermes et arènes qui connut son apogée au IIIème siècle.

Au Vème siècle, les Alpes-Maritimes déclinèrent avec la chute de l'empire romain. Exemple unique de désertion d'un habitat,  la préfecture de Cemenelum disparut, le site de Cimiez étant totalement abandonné. La population se regroupa alors au bord de mer autour de la colline du Château. Le territoire de Nice fut attribué à Lothaire lors du partage de Verdun en 849. Il tomba ensuite sous l'administration de Boson et de ses successeurs.

01
Obole de Boson - Vienne
Raymond V et VI (1148-1222)
Denier d'argent à la croix de Toulouse
Alphonse II d'Aragon (1196-1209)
Ddenier d'argent  - PO VI NC IA
Gros marseillais au type de celui de Raymond-Bérenger V (1209-1246)
Les Niçois conservèrent cependant une certaine autonomie et le pays s'administra de manière relativement indépendante jusqu'à ce qu'une féroce rivalité se développe au XIIème siècle entre les maisons de Barcelone et de Toulouse dans le cadre de querelles successorales pour le contrôle de la Provence.

LA RIVALITE ENTRE TOULOUSAINS ET CATALANS POUR LE CONTROLE DE LA PROVENCE

La transmission de droits indivis aux maisons de Toulouse et de Barcelone provoqua leur affrontement qui se termina par le partage de la Provence en 1125. Le Comte de Barcelone se voyait attribuer la Provence actuelle, en ce compris le pays de Nice. Toutefois, les comtes de Toulouse favorisèrent les opposants à la souveraineté catalane, dont les puissants seigneurs des Baux auxquels se rallièrent les niçois, poussés par Gênes.
La maison de Barcelone finit cependant par triompher et Nice dut verser un lourd tribut à Alphonse II d'Aragon. Son fils, Raymond-Bérenger V, poursuivit la lutte contre les menées gênoises et nomma un viguier à Nice. Aidé par son gendre, le roi de France, il dut lutter contre les entreprises conjuguées du comte de Toulouse et de l'empereur Frédéric V.

L'AVENEMENT DES ANGEVINS

CHARLES 1ER D'ANJOU (1245-1285)

A sa mort, Raimond-Bérenger V ne laissait qu'une fille, Béatrice, objet de convoitise pour de nombreux prétendants. C'est Charles d'Anjou, frère de Saint-Louis, qui allait devenir son époux. Les Angevins arrivaient ainsi en Provence et celle-ci se rapprochait de la France.

Charles 1er d'Anjou pratiqua une politique de fermeté et de consolidation de ses frontières. Il fit établir à Nice un arsenal et un chantier naval. Il devint comte du Piémont en 1259 et le Pape le fit roi de Sicile en 1265. Il obtint en 1276 le titre de roi de Jérusalem et rêva d'un vaste empire. Ses ambitions se terminèrent par le désastre de Sicile et les vêpres siciliennes (1282). Il mourut laissant son fils prisonnier.

LA REINE JEANNE (1343-1382)

Petite-fille du roi Robert, Jeanne fut désignée pour lui succéder et fut mariée à l'âge de cinq ans à André de Hongrie. Elle voulut gouverner elle- même et s'allia aux Grimaldi qui avaient repris Monaco aux Gênois. La mort de son premier mari, assassiné, entraîna une féroce réaction de son beau-frère Louis de Hongrie. Jeanne, qui s'était enfuie de Naples, fut innocentée par la Cour papale siégeant en Avignon. Elle proclama la Provence inaliénable. Elle fut confrontée aux ambitions de l'Empereur,qui se fit couronner roi d'Arles en faisant valoir ses droits sur la Provence.

Le roi de France, Charles V, envoya pour sa part son frère assiéger Tarascon. Affolée par ces dangers, et se résolvant à perdre la Sicile, Jeanne, qui n'avait pas pu avoir d'enfant désigna Charles de Duras, époux de sa nièce Marguerite comme son successeur légitime.

Elle prit ensuite parti pour le Pape d'Avignon lors du Grand Schisme de 1378. Le Pape de Rome la déclara alors déchue de ses droits au profit de Charles de Duras. Ce dernier ne tardant pas à faire valoir ses droits, Jeanne adopta comme héritier le duc d'Anjou, frère de Charles V. En 1381, Duras s'empara de Naples et fit Jeanne prisonnière. Louis d'Anjou prépara alors une intervention pour la délivrer et monnaya l'appui du comte de Savoie.

Les troupes angevines arrivèrent trop tard pour sauver la reine. Refusant de révoquer son testament, celle-ci avait connu entre temps une fin tragique, étouffée entre deux matelas. D'innombrables luttes allaient opposer les partisans de Louis d'Anjou à ceux de Duras. Les deux rivaux décédaient en 1384 et 1386, ne laissant que des enfants de sept et onze ans pour leur succéder.

Le comte de Savoie réclamait le remboursement de la dépense de guerre. Il prenait position aux confins du pays niçois.

CHARLES II D'ANJOU (1285-1309)

Charles II consolida ses positions et chercha à rivaliser avec Gênes. Il créa une ville franche, la Villefranche actuelle, dans la rade voisine de Nice. Il mit en place de nombreuses règles administratives et fit dresser un tableau "des biens et des droits".

ROBERT D'ANJOU (1309-1343)

Fils de Charles II, Robert 1er le Sage eut fort à faire pour conserverses possessions italiennes, convoitées tant par les catalans que par l'empereur. Il mourut en ne laissant pour lui succéder qu'une petite fille prénommée Jeanne.

LE RATTACHEMENT DU PAYS DE NICE A LA SAVOIE  

AMEDEE VII (1383-1391) DIT LE COMTE ROUGE

Amédée VII, comte de Savoie, obtint magistralement la dédition du Comté de Nice de la Provence en profitant des circonstances troublées et en utilisant l'influence des puissants comtes de Beuil, les Grimaldi. Les niçois, qui s'étaient déclarés durassiens, craignaient la reprise des hostilités avec les angevins.

Amédée VII, sans doute enhardi par le fait que les angevins ne lui avaient toujours pas remboursé la dette de guerre, signait avec Jean et Louis de Grimaldi, baron de Beuil et seigneur de Massoins, une convention par laquelle ceux-ci s'engageaient à obtenir du jeune roi Ladislas et de sa mère, l'abandon de leurs droits sur le pays de Nice.

Aux niçois, confrontés à la menace angevine, l'envoyé de Ladislas indiquait que le roi de Naples ne pouvait protéger leur cité et que ceux-ci pouvaient se trouver un autre protecteur. Leur choix ne pouvait que se porter sur le comte de Savoie qui, justement, venait d'arriver à Nice à la tête d'une petite armée...

La ville, qui ne voulait à aucun prix passer sous suzeraineté angevine,accueillait ainsi très favorablement son nouveau suzerain. Aux protestations de Louis d'Anjou, Amédée VII opposait le remboursement de la dette, et une trêve de douze années était signée. De trêve en trêve, le pays de Nice allait rester dans la maison de Savoie durant 472 années !

AMEDEE VIII, Comte (1391-1416), puis Duc (1416-1440)

Fils d'Amédée VII, il travailla à consolider les acquis de son père. Il harcela les villages demeurés provençaux et obtint avec Louis d'Anjou une nouvelle trêve de douze ans en 1400. En 1419, il obtint de sa veuve, Yolande, qui voulait allier la Savoie à la France, la reconnaissance par traité de ses droits sur le pays de Nice. Elevé à la dignité de duc par l'empereur Sigismond, il se retira en ermite à la mort de sa femme. Il fut proclamé pape (anti-pape) en 1439 sous le nom de Félix V. Se heurtant à trop d'intérêts opposés, il abdiqua en 1449.

LOUIS 1er D'ANJOU

AMEDEE IX (1465-1472)

Il dut également faire face aux ingérences et menées de Louis XI.

Amédée IX - quart de gros

PHILIBERT 1er DIT LE CHASSEUR (1472-1482)

Fils de Amédée IX et de Yolande de France, soeur de Louis XI. Il mourut très jeune.

Philibert 1er – parpaillole

CHARLES 1er (1482-1490)

Premier duc de Savoie à se rendre à Nice depuis 1420, il amorça la politique italienne de sa famille en épousant une princesse transalpine.

LOUIS 1er (1440-1465)

Il subit la pression du roi de France Louis XI qui intervint outrageusement dans les affaires savoisiennes, au point de nommer en période de troubles, un lieutenant général du Duché. Il devint roi de Chypre et de Jérusalem en épousant Anne de Lusignan.

CHARLES II LE BON (1504-1553)

Fils de Philippe II, Charles II succéda à son frère, Philibert II. Il dut faire face aux invasions suisses en Savoie et dut lutter contre François 1er.  Il perdit le bassin du Léman, dont Genève, et Turin. Son règne amorce une période de grand affaiblissement de la dynastie savoyarde, étouffée entre les ambitions rivales de François 1er et Charles Quint. La bataille de Carignan donnera la Savoie et le Piémont à François 1er. Le duc de Savoie ne possèdera dès lors plus que le pays de Nice, qui sera érigé en Comté. Sous son règne se déroulera en 1538 la fameuse entrevue de Nice entre François 1er et Charles Quint. En 1543, ce sera le siège de Nice par les franco-turcs suivi de l'incendie de la ville. Charles II mourut en 1553 à Verceil, alors que la ville était assiégée par les troupes d'Henri II.

Grosso de billon de Charles II (1521-1523) (1)


EMMANUEL-PHILIBERT (1530-1580)

Fils de Charles II le Bon et de Béatrice du Portugal, il se distingua par ses qualités guerrières et fut surnommé "Tete de Fer" par ses adversaires. Dépossédé de ses territoires, il érigea le pays de Nice, son dernier bastion, en Comté (cf. armoiries ci-dessus). Il fut nommé gouverneur de Flandre par Charles Quint en 1551. Ayant remporté la bataille de Saint-Quentin, il recouvra au traité de Cateau-Cambrésis (1559), la totalité de ses états. Il se réconcilia avec la France en épousant Marguerite de Valois, soeur d'Henri II, noces au cours desquelles le roi de France trouva la mort. Il fixa sa capitale à Turin, ce qui orienta la politique des ducs de Savoie vers l'Italie. Il officialisa l'usage de la langue française en Savoie et ordonna l'emploi du toscan en Piémont et dans le pays de Nice.

CHARLES-EMMANUEL 1er (1580-1630)

Fils d'Emmanuel-Philibert et de Marguerite de Valois, il épousa la fille de Philippe II d'Espagne. Petit-fils de François 1er, il revendiqua le trône de France à la mort d'Henri II mais il fut battu en 1591 par Lesdiguières et d'Epernon. Il dut lutter contre Henri IV et dut lui céder le Bugey, la Bresse et le Valromey en contrepartie du marquisat de Saluces. A sa mort, il laissa la totalité de la Savoie sous domination française. Il fit entamer les travaux de réalisation du col de Tende et aménager les ports de Nice et Villefranche. En 1614, il créa le Sénat de Nice (équivalent de la Cour d'appel), institution qui restera en vigueur jusqu'en 1860, date à laquelle la région de Nice sera rattachée à la Cour d'appel d'Aix-en-Provence.

CHARLES-EMMANUEL II

CHARLES-EMMANUEL III (1730-1773)

Il dut s'allier tantôt à l'Autriche, tantôt aux franco-espagnols. Ces derniers envahirent en 1744 et 1746 le Comté de Nice. Il récupéra ses biens en 1748 au traité d'Aix-la-Chapelle. Sous son règne fut entrepris le creusement du port Lympia à Nice.

VICTOR-AMEDEE III (1773-1796)

Il eut à faire face à la montée des idées révolutionnaires en France. Il accueillit de nombreux émigrés et laissa libre passage à travers le Piémont aux troupes autrichiennes. Refusant de recevoir l'envoyé français De Sémonville,venu pour connaître ses intentions, il créa l'incident diplomatique qui fut à l'origine du coup de force français de 1792 qui aboutit à la perte de Nice puis du pays niçois. Suite à la chute de Tende, au traité de Paris (16 mai 1796), le roi de Sardaigne renonçait à tous ses droits sur le Comté de Nice. Celui-ci restera sous domination française jusqu'au second traité de Paris du 30 mai 1814 qui restituera à la Savoie ses anciennes possessions.

CHARLES-EMMANUEL IV (1751-1819) (roi de Sardaigne 1796-1802)

Exilé à Naples après l'invasion française, il abdiqua en 1802 et vécut pauvrement à Rome chez les Jésuites.

VICTOR-EMMANUEL 1er (1802-1821)

Il récupéra en 1814 Nice et la Savoie, mais également Gênes et Monaco. Hostile à la Révolution française et à l'influence française,il imposa l'utilisation de l'italien. Suite à une insurrection en Piémont en 1821, il dut abdiquer en faveur de son frère Charles-Félix et vint se réfugier à Nice.

CHARLES-ALBERT (1831-1849)

Démocrate, il rétablit les libertés essentielles (assemblées,liberté de culte). En 1848, il déclara la guerre à l'Autriche mais, vaincu à Custozza puis à Novare,il abdiqua en faveur de son fils,

CHARLES-FELIX (1821-1831)
Il accepta de reconnaître le français et l'italien comme langues nationales à Nice et dans une partie du département.

VICTOR-EMMANUEL II (1849-1860)

Il se dota d'un gouvernement libéral et poursuivit une politique de grands travaux (ponts,endiguement du Var, routes de la Vésubie, de la Tinée, de l'Estéron, projet de chemin de fer Nice-Coni).

Par traité du 24 mars 1860, sous la pression de Napoléon III, qui annonçait, en cas de refus, "de grands malheurs" il dut se résigner à céder Nice et la Savoie à la France.

LE RATTACHEMENT A LA FRANCE

"Nous allons seconder la lutte d'un peuple revendiquant son indépendance et le soustraire à l'oppression étrangère - ordre du jour du 12 mai 1859" ! Napoléon III annonçait ainsi fermement ses intentions en direction de l'Italie et à l'intention de l'Autriche. Les armées françaises allaient entrer en Italie et chasser les autrichiens de Lombardie. Toutefois, elles ne libéraient pas la Vénetie, aux grand dam des italiens. Il est vrai que le prix payé en hommes par la France avait déjà été fort cher. La bataille de Solférino, effroyable boucherie, allait entrainer la création de la Croix-rouge internationale.

Ainsi que l'avait fait Amédée VII cinq siècles auparavant, Napoléon III réclamait le prix de son intervention militaire: Nice et la Savoie... Victor- Emmanuel II allait devoir s'incliner. Le plébiscite organisé à Nice en 1860 donnait un vote massif des Niçois en faveur du rattachement à la France. Après un divorce de 472 années, le pays de Nice réintégrait le giron franco-provençal et, ironie de l'histoire, pour des raisons similaires à celles qui avaient conduit à son détachement de la Provence !

Charles 1er d'Anjou  : gros d'Avignon (image L. Fabre)
... et  denier tournois provençal
Charles II d'Anjou - denier d'argent
Emmanuel-Philibert - sol de billon -1575
4 sols - atelier deVerceil (V)
Charles-Emmanuel 1er - Sol de billon - 1595
Parpaioles de Charles-Emmanuel 1er (1581 et 1586)
Charles 1er de Savoie - ducat d'or
Louis 1er - Blanc d'argent  (image L. Fabre)
Robert d'Anjou - Carlin d'argent - Naples
Jeanne, reine de Naples, de Sicile et de Jérusalem - Sol coronatToulouse
Louis 1er d'Anjou - gros d'argent
Amédée VIII - Quart de gros d'argent
1736
Charles-Emmanuel III - quart d'écu - 1771
Victor-Amédée III -  pièce de 20 sols de billon de 1796
Charles-Emmanuel IV - 1 sol - 1797
Victor-Emmanuel 1er - pièce de 2,6 sols
Charles-Félix - Pièce d'or de 80 lires 1828
Charles-Félix - 1 lire en argent 1829
Charles 1er - Fort de billon au K
Emmanuel-Philibert - gros -Aoste
Emmanuel-Philibert :  sol 2ème type Chambéry
Charles-Félix - pièce de 1 centesimo 1826
Charles-Albert - pièce de 20 Lire en or
Victor-Emmanuel II -  pièce de 20 lire en or
CMédaille consacrant la visite de Napoléon III et de l'impératrice Eugénie en 1860
 sur leurs nouveaux territoires niçois.
  
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